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Bonjour, En parlant des droits d'auteur en cours, j'ai parlé des gauches d'auteurs (la licence dite libre dont les régles sont mentionnées dans le document de la GNU General Public Licence (dont voici la traduction (non-officielle) en français), et le prof m'a demandé de prouver que la loi algérienne lui confère une valeur. En gros il me demande si la GNU/GPL a une quelconque valeur en Algérie du point de vue de la loi, et si Oui, quels sont les preuves ? Je sais que cette licence est de plus en plus utilisée dans le monde du Web et du logiciel, mais aussi dans le monde de la créativité artistique avec des dérivées de cette licence comme les Creatives Commons et bien d'autres, et vu que je suis dans le monde du créatif, m'éclairer sur ce point serait merveilleux. Merci.
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Salam alikoum, Je voudrais avoir certaines précisions sur une loi qui existe apparement mais que je n'arrive pas a trouver. Situation: Vous avez 19 ans et vous avez dans votre véhicule une mineure (16-17 ans) (cousine, soeur qu'importe...). Le jeune homme est-il dans l'illégalité? La concernée jeune fille doit etre en possession de ses papiers pour qu'il n'y ait pas de problèmes? Existe-t-il des horaires pour lesquelles cette loi s'applique? Si je vous demande tout cela c'est en raison de certaines rumeurs qui circulent qui affirment que cela peut aller du simple commissariat jusqu'a la prison. Merci pour votre futur clarification
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- detournement
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http://www.google.dz opérationnel officiellement /> Bonjour tout le monde, Maintenant que je suis rassuré au sujet du "ménage" dans les sections [4], je reprend une pas trop vieille discussion au sujet de google.dz [5] (...) Pour ce qui est de l'affirmation / accusation, mon objectif n'était certainement pas la diffamation. J'avais uniquement proposé ces deux déclarations dans le but d'un exercice mental. Mon intention était de secouer un petit peu le cocotier. De mettre le doigt sur un mécanisme qui nous astreint non pas à une reflexion mais à une réaction. L'article de loi est à mon sens suffisant pour démontrer l'intention du systeme à surveiller et à controller le traffic.[0] Il est dit clairement que les fournisseurs internet sont soumis à cette obligation. Je ne vois pas plus pondérant comme intention d'agir dans ce sens qu'un decret de cette espece. Je trouve anormal de voir vous dire " je ne croix pas que 'en haut lieu' on s'interesse vraiment à ça" alors que justement, ils ont exprimé leur interet pour ça sous cette forme.(dix ans en arriere, j'aime bien leur profondeur de vision). Le schéma que présente SecDz pour la surveillance du traffic internet me semble surdimensionné. Il est vrai que dans un context echelon-esque, ce que propose SecDz pour la surveillance est réaliste, cependant je me permets d'apporter mon avis sur qui ne me semble pas correct. Supposons que j'ai pour mission la gestion d'un réseau informatique, de taille inconnue. Au sein de ce réseau évolue des utilisateurs de différentes natures et habitudes. Il m'est assigné de prendre les mesures necessaires pour l'optimisation de ce réseau informatique. Dans un cas classique, je prendrais une période de tests, ou je récolterais le maximum de métriques concernant ce réseau. Je prendrais donc soin à rassembler des statistiques afin d'en tirer des enseignements, voir des correlations, apprendre les habitudes de mes utilisateurs. Je n'ai guere besoin d'avoir recours à des méthodes avancées d'analyse, car ce qui m'interesse n'est pas la caractérisation de chaque utilisateur pris à part, mais plutot de tracer une tendance globale, d'extraires des comportements. La tendance globale est importante car j'interprete le reseau dans son ensemble. Je n'ai pas besoin par exemple de tracer l'arbre des contacts msn de chaque utilisateur. Par contre, savoir que l'utilisation de la bande passante dans son ensemble répond à une loi gaussienne m'est d'une extreme utilité. (prévoir les pannes, anticiper les besoins de mes utilisateurs,...). Notez que je n'ai emis aucune hypothese ni sur le nombre d'utilisateurs, ni sur la nature du reseau ou son envergure. On peut reprendre ce schéma à l'ensemble d'un pays. Les statistiques sur un flux de données (internet en l'occurrence) sont la première étape dans le processus d'extraction d'intelligence à partir d'informations à priori non corrélées. Ces statistiques peuvent s'exprimer sous la forme suivante (encore une fois, ce ne sont que des exemples, et non pas des données réelles): - 34% des utilisateurs eepad utilisent yahoo pour leur messagerie - 58% des internautes algériens utilisent google comme leur page de démarrage - 25% des internautes algériens consultent dzfoot pour leurs nouvelles sportives - 80% des internautes algériens qui frequentent le site sourceforge utilisent firefox Le systeme actuel, dans son optique de controle, ne requiert pas d'avoir de l'information précise telle que nous l'imaginons (au sens NSA donc). Le systeme a besoin de controller les masses. Le systeme a besoin d'une vision globale, pour évaluer le risque , et prendre les décisions critiques. Le systeme a tout interet, par exemple, à connaitre l'affluence sur un site internet considéré comme subversif. Il évalue ainsi la tendance globale de la population vis à vis d'une idée, d'une mobilisation. Le systeme a tout interet aussi à connaitre les mots clés les plus recherchés, pour évaluer les centres d'interets des utilisateurs. Ces statistiques peuvent indiquer des informations très interessantes, et peuvent, si exploitées dans à mauvais escient, représenter un danger pour les libertés individuelles. La récolte de ce type de statistiques ne necessite pas une infrastructure telle que SecDz la présente. Les gens qui travaillent à des postes sensibles sont rares, et ils ne necessitent pas une formation extraordinaire (faire marcher quelques gateway qui font du tapping et generant des statistiques, ce n'est pas tres loin de ce que doit faire un informaticien en fin de cycle) Ces gens là, par rapport à la fonction qu'ils occupent, et s'il sont sous un régime civil ( par opposition à militaire ) auront probablement : -peur pour leur sécurité et celle de leur famille, - considéreront que la divulgation de telles informations nuirait à la sécurité nationale Maska rappel et justement les censures qui s'effectuent chez nos voisins. Je suis d'accord avec son analyse sauf sur le point qui concerne les moyens. A mon avis, nos voisins censurent non pas faute de moyens de surveillance, mais pour des raisnos politiques. Dit autrement : en algérie nous ne devons censurer pour ne pas ternir l'image démocratique que nous tentons d'afficher. Si nous censurons, nous passerons pour une dictature. Nos voisins n'ont pas besoin de produire autant d'efforts (a mon sens ni le maroc ni la tunisie ne cachent leurs pratiques). Les censures chez nous s'expriment de façon plus subtiles, sous forme de pannes ( "fibres optiques 'coupées' " ) ou imputées à de virtuelles incompétences. Faisons un calcul rapide , et corrigez-moi si je fais des hypotheses erronées : - Estimons le nombre d'utilisateurs internet en algérie de l'ordre de 2 Millions (plus ou moins 10%) - Imaginons que ces 2 Millions d'utilisateurs s'arrangent pour naviguer sur internet le jour meme (je surdimensionne, c'est presque jamais le cas à cause de l'utilisation occasionelle de plusieurs d'entre eux) - Estimons le nombre de sites visités à 4 en moyenne - Imaginons que le traffic internet ne soit acheminé que par une seule fibre optique (contre deux ou trois d'aprés ce que je vois) - Estimons à 100 le nombre de requetes par site internet (en moyenne 5 pages consultées avec 20 elements par page grosso modo) - Estimons à 1 le nombre de packets par requete (avec une moyenne 1.5 ko de données par packet, en gros aussi) - Imaginons que je ne m'interesse qu'a la voie montante (je ne tire les statistiques qu'a partir de ce qu'envoient les utilisateurs) - Imaginons que je ne m'interesse qu'au traffic web (je n'effectue pas de statistiques sur les logiciels p2p par exemple) D'après ces hypotheses, à la fin de la journée, j'aurais vu combien de packets au niveau de ma fibre optique ? 2 Millions d'utilisateurs x 4 sites x 100 requetes par site internet x 1 packet par requete = 800 Millions de packets par jour Je souhaite donc traiter 800 Millions de packets par jour, et en extraire des statistiques. Calculons le nombre de packets par seconde à traiter/analyser ( j espere ne pas avoir fait de betises en calculant ) : 800 M packets par jour => 800 M / 24h = ~ 34 M packets par heure 34 M packets par heure => 34 M / 3600 = ~ 9450 packets par seconde Il nous faut donc grossierement une solution qui sache traiter 9450 packets par seconde. En distribuant sur 10 machines, on aura dans les 900 packets par seconde par machine, ça ne me semble pas hors d'atteinte. Comment feriez-vous pour traiter une tel traffic ? Est-ce que ce calcul vous parrait -incorrect, -hors context ? Dans la foulée, et histoire d'enfoncer un peu plus le clou, pouvez vous m'expliquer par quel miracle de routage [1], ou par quelle heureuse incompétence le traffic internet du Cerist passe-t-il par SLC [2] [3] ?. Encore mieux, uniquement le bloc 193.194.64.* est concerné, bloc qui contient nos serveurs authoritaires sur le point dz (je dis 'nos' car j'estime que le point dz appartient au peuple, non?), bloc qui regroupe les serveurs Wissal, et autres serveurs d'institutions. Pourquoi ? (attention il y'a un petit piege) En vous souhaitant une bonne soirée, portez vous bien. [0]: [1]: Sans offenser personne, voici la définition du traceroute par wikipedia [2]: Smartlink Communication, fournisseurs d'accès internet. http://www.slc.dz [3]: [4]: http://www.forumdz.com/showthread.php?t=7011 [5]: http://www.forumdz.com/showthread.php?t=5410&page=12
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Le Conseil des ministres a examiné et approuvé un projet de loi portant règles particulières relatives à la prévention et à la lutte contre les infractions liées aux technologies de l'information et de la communication. Ce texte définit les situations dans lesquelles le recours à ces méthodes serait permis à savoir : la prévention des infractions qualifiées d'actes terroristes ou subversifs et des infractions contre la sûreté de l'Etat, les tentatives d'atteinte à un système informatique représentant une menace pour les institutions de l'Etat, pour la défense nationale ou pour les intérêts stratégiques de l'économie nationale, les besoins d'enquêtes et d'informations judiciaires, et enfin dans le cadre d'une demande d'entraide judiciaire internationale. Le projet de loi précise les règles et procédures destinées à régir les opérations de surveillance des communications électroniques, lesquelles ne pourront être engagées que sur autorisation expresse du magistrat, et ne devront être exécutées que par des officiers de police judiciaire. Il précise également les obligations de coopération que la loi imposera aux fournisseurs de services et aux fournisseurs d'Internet. Il énonce enfin la création d'un organe national chargé de la prévention et de la lutte contre les infractions commises au moyen des technologies de l'information et de la communication. Ce projet de loi a pour finalité de mettre en cohérence la législation nationale avec les conventions internationales en la matière. De ce fait, il s'inspire largement de la convention européenne de Budapest sur la cybercriminalité. Source : APS.
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